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Conférence

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Le replay (accessible 30 jours gratuitement) sera envoyé quelques jours après la session par un autre lien, nous l'enverrons automatiquement à tout le monde (pas besoin de nous contacter).

 

« L’une des principales parties de la sagesse est de savoir en quelle façon et pour quelle cause chacun se doit estimer ou mépriser. » René Descartes

Une bonne estime de soi nous aide à mieux vivre, à traverser intelligemment bonheurs et adversités. Puis à nous tourner tranquillement vers plus intéressant encore que nous-mêmes : les autres, le monde, la vie.
Car l’estime de soi n’est pas le but, elle est le chemin vers une présence au monde ouverte, sereine et épanouie. 

Alors, comment s’estimer, puis s’oublier ? 

 

Notre ami et parrain Christophe André nous fait le plaisir de revenir à Bruxelles pour aborder cette question passionnante avec la communauté d'Émergences.

 

Christophe André est né à Montpellier d’un père marin et d’une mère institutrice. D’où, peut-être, son goût pour la pédagogie (merci maman) et la psychologie des profondeurs (merci papa). Il lit très tôt l’oeuvre de Freud et décide de faire médecine pour devenir psychiatre.

Il pratique pendant 15 ans psychiatrie et rugby à Toulouse. Après son mariage, il monte à Paris, remplace alors la pratique du rugby par celle de l’écriture, la visite des mêlées par celle des musées, et ne marque plus d’essais, mais en publie de nombreux.

Il a accompli l’essentiel de sa carrière dans le Service Hospitalo-Universitaire de l’hôpital Sainte-Anne à Paris, au sein d’une Unité de Psychothérapie Comportementale et Cognitive, spécialisée dans le traitement et la prévention des troubles émotionnels, anxieux et dépressifs. Il a été parmi les premiers médecins à proposer à ses patients des approches de méditation laïque, dès 2004. Il a été lauréat en 2016 du Prix Jean Bernard, de la Fondation pour la Recherche Médicale.

Ses ouvrages destinés au grand public connaissent un très grand succès en France et à l’étranger. Mais, d’un naturel perfectionniste, il considère cependant que ses seuls véritables chefs d’oeuvre sont ses trois filles…


Conférence

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« L’une des principales parties de la sagesse est de savoir en quelle façon et pour quelle cause chacun se doit estimer ou mépriser. » René Descartes

Une bonne estime de soi nous aide à mieux vivre, à traverser intelligemment bonheurs et adversités. Puis à nous tourner tranquillement vers plus intéressant encore que nous-mêmes : les autres, le monde, la vie.
Car l’estime de soi n’est pas le but, elle est le chemin vers une présence au monde ouverte, sereine et épanouie. 

Alors, comment s’estimer, puis s’oublier ? 

 

Notre ami et parrain Christophe André nous fait le plaisir de revenir à Bruxelles pour aborder cette question passionnante avec la communauté d'Émergences.
 

Christophe André est né à Montpellier d’un père marin et d’une mère institutrice. D’où, peut-être, son goût pour la pédagogie (merci maman) et la psychologie des profondeurs (merci papa). Il lit très tôt l’oeuvre de Freud et décide de faire médecine pour devenir psychiatre.

Il pratique pendant 15 ans psychiatrie et rugby à Toulouse. Après son mariage, il monte à Paris, remplace alors la pratique du rugby par celle de l’écriture, la visite des mêlées par celle des musées, et ne marque plus d’essais, mais en publie de nombreux.

Il a accompli l’essentiel de sa carrière dans le Service Hospitalo-Universitaire de l’hôpital Sainte-Anne à Paris, au sein d’une Unité de Psychothérapie Comportementale et Cognitive, spécialisée dans le traitement et la prévention des troubles émotionnels, anxieux et dépressifs. Il a été parmi les premiers médecins à proposer à ses patients des approches de méditation laïque, dès 2004. Il a été lauréat en 2016 du Prix Jean Bernard, de la Fondation pour la Recherche Médicale.

Ses ouvrages destinés au grand public connaissent un très grand succès en France et à l’étranger. Mais, d’un naturel perfectionniste, il considère cependant que ses seuls véritables chefs d’oeuvre sont ses trois filles…


Conférence

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Criminologue de formation, Salomé Van Billoen a notamment travaillé en Afrique pendant 10 ans, essentiellement en République Démocratique du Congo et au Rwanda. C’est au Rwanda qu’elle a accompagné des communautés villageoises dans l’expérimentation d’un processus de justice restaurative dans le domaine des violences domestiques et sexuelles. Inspirée par les résultats de cette expérience de justice et convaincue par sa portée universelle, elle l’a documentée dans le film « Les cornes de la vache » qu'elle a initié et avec lequel elle tourne depuis 2019.
Le film documentaire Amahembe y’inka (Les cornes de la vache) raconte l’histoire de communautés villageoises au Rwanda qui se sont réappropriées le débat de la justice.
Elles apprennent à faire face, ensemble, aux violences domestiques et sexuelles qui les minent, à travers un processus de justice restaurative qu'elles mettent en oeuvre par et pour elles-mêmes !
Des paysans comme Jean-Marie, Agnès, Evariste, Drocella et d’autres ont franchi le pas et ont donné un espoir énorme à leur communauté. Chemin faisant, ils posent en réalité une question fondamentale et universelle : quel est le sens de la justice et que peut-elle faire pour que les personnes retrouvent leur humanité et se reconstruisent en lien avec leur communauté ?
Nous regarderons le film ensemble et prendrons le temps d'échanger avec elle en deuxième partie de soirée.
Voici le trailer : https://vimeo.com/858969207


Salome Van Billoen
Praticienne en justice restaurative et co-porteuse du dispositif de justice restaurative au Rwanda, Salomé Van Billoen est aujourd’hui membre du groupe « Retissons du lien – Penser ensemble pour agir en commun » rassemblant des familles concernées par l’engagement d’un.e des leurs dans l’idéologie djihadiste et des personnes endeuillées ou rescapées des attentats de Paris et de Bruxelles, avec à leur côté des intervenant.e.s de première ligne confronté.e.s au phénomène de radicalisation violente. Elle coordonne la mise en place de cercle en justice restaurative
ouverts à toute personne affectée par le terrorisme.
Elle est aussi l’autrice du livre « Les Juridictions Gacaca au Rwanda. Une analyse de la complexité des représentations ».