Vous avez trop de travail ? Faites du yoga ! Vous allez mal ? Devenez la meilleure version de vous-même !

Méditation, sport, coaching, thérapies, massages, yoga : prendre soin de soi s’inscrit souvent dans une logique néolibérale de consommation et de perfectionnement inatteignable.
Coûteuses et normatives, les pratiques de bien-être ne s’adressent souvent qu’aux personnes jeunes, blanches, riches ou valides. Elles prétendent apporter des solutions individuelles à des problèmes collectifs ; or les petits gestes ne changeront pas le monde.

Pourtant, il n’y a rien de mal à vouloir se sentir bien. S’occuper de sa santé mentale et physique est même d’autant plus nécessaire quand on est affecté·e par les injustices.
Alors que faire ? Peut-on être révolutionnaire et faire du yoga ? Méditer et se battre pour sa planète ? Prendre soin de soi, est-ce de l’égoïsme ou une autre façon de lutter ?

Dans cette conférence, Camille Teste propose de hacker les pratiques de bien-être pour en faire de puissants outils d’émancipation et de changement politique.


Ex-journaliste spécialisée dans les enjeux de justice sociale, la militante féministe Camille Teste partage sur son compte Instagram des réflexions politiques autour du corps, des émotions et des rapports de domination, sur un ton qui mêle humour et philosophie. Dans le monde réel, elle organise des événements où elle explore la dimension émancipatrice du yoga et des pratiques psychocorporelles.
 

“Pour prendre soin du stress écologique, je vous propose une boussole, elle vous guidera vers l’apaisement et l’engagement….”.
C’est le cadeau que l‘on reçoit d’Isabelle Giraldo, formatrice en transition intérieure, dès que l’on tourne les premières pages de son livre “Eco-anxiété, des clés pour agir”, paru ce 1er juin aux éditions Solar et superbement illustré par Nathalie Ouederni.

A l’instar des travaux de Jung sur le comportement humain, représenté par la boussole des 4 fonctions universelles, Isabelle Giraldo nous propose 4 familles d’exercices aux 4 points cardinaux pour transformer le stress écologique en force. Pour qu’au lieu de nous détruire, il nous guide et nous renforce.

A l’est, là où le soleil se lève, nous développons notre ancrage, notre résilience, à l’aide notamment de la méditation. C’est le “miracle morning”, le moment où nous nous tournons vers notre intérieur. Au sud, la chaleur nous enveloppe, nous prenons soin de nos émotions grâce à l’écologie profonde. A l’ouest, au soleil couchant, “entre chien et loup”, nous déployons notre imaginaire, sublimons notre intuition, et inventons de nouveaux récits collectifs. Au nord, nous passons en mode plus rationnel, la pensée s’oriente vers l‘action, de manière collective.

Les sensations, les émotions, l’imagination, la pensée. 4 façons d’appréhender le monde que l’on apprend au fil des chapitres à transformer en ressources.

Comme nous le dit Jon Kabat Zinn ”On ne peut arrêter les vagues, mais on peut apprendre à surfer”. Ce guide précieux révèle plus de 30 exercices pratiques d’introspection, des méditations guidées, des rituels en pleine nature…. Pour transformer les « contre quoi » nous nous battons, en « pourquoi » nous nous levons chaque matin !

“Pour prendre soin du stress écologique, je vous propose une boussole, elle vous guidera vers l’apaisement et l’engagement….”.
C’est le cadeau que l‘on reçoit d’Isabelle Giraldo, formatrice en transition intérieure, dès que l’on tourne les premières pages de son livre “Eco-anxiété, des clés pour agir”, paru ce 1er juin aux éditions Solar et superbement illustré par Nathalie Ouederni.

A l’instar des travaux de Jung sur le comportement humain, représenté par la boussole des 4 fonctions universelles, Isabelle Giraldo nous propose 4 familles d’exercices aux 4 points cardinaux pour transformer le stress écologique en force. Pour qu’au lieu de nous détruire, il nous guide et nous renforce.

A l’est, là où le soleil se lève, nous développons notre ancrage, notre résilience, à l’aide notamment de la méditation. C’est le “miracle morning”, le moment où nous nous tournons vers notre intérieur. Au sud, la chaleur nous enveloppe, nous prenons soin de nos émotions grâce à l’écologie profonde. A l’ouest, au soleil couchant, “entre chien et loup”, nous déployons notre imaginaire, sublimons notre intuition, et inventons de nouveaux récits collectifs. Au nord, nous passons en mode plus rationnel, la pensée s’oriente vers l‘action, de manière collective.

Les sensations, les émotions, l’imagination, la pensée. 4 façons d’appréhender le monde que l’on apprend au fil des chapitres à transformer en ressources.

Comme nous le dit Jon Kabat Zinn ”On ne peut arrêter les vagues, mais on peut apprendre à surfer”. Ce guide précieux révèle plus de 30 exercices pratiques d’introspection, des méditations guidées, des rituels en pleine nature…. Pour transformer les « contre quoi » nous nous battons, en « pourquoi » nous nous levons chaque matin !

« Souviens-toi que le Temps est un joueur avide, Qui gagne, sans tricher, à tout coup ! c’est la loi. » écrivait Baudelaire dans son poème L’horloge.
Est-il bien sage de faire du temps, ce grand sculpteur de toute chose, un ennemi ? Pouvons-nous encore faire la paix avec lui dans la frénésie communicationnelle ?
La grande victime de l’emballement matérialiste, numérique et financier du monde est connu : c’est le lien humain et avec lui l’amour, notre raison d’être…
Respirer c’est se réconcilier avec le temps.
À partir d’une réflexion philosophique sur l’accélération de nos sociétés postmodernes et la manière dont elle nous met en contradiction avec nos aspirations profondes, Gilles Vernet nous invitera à pacifier notre rapport au temps, à respirer et à alterner les rythmes afin de préserver de la disponibilité pour le plus important : soi-même et autrui, que ce soit dans la vie professionnelle, amicale ou familiale.
Le temps est un allié indispensable pour prendre soin de soi et des autres. Et mieux le gérer peut devenir un véritable atout face à l’emballement du monde.

Ancien trader dans les grandes banques internationales, Gilles Vernet a tout quitté en 2001 pour s’occuper de sa mère atteinte d’une maladie incurable.
Devenu instituteur il a écrit un livre « Maman mourra un jour » dans lequel il témoigne du chemin initiatique qu’a été pour lui l’accompagnement de sa mère dans sa fin de vie. Cette expérience l’a amené à mettre en abime notre rapport au temps. Il a réalisé au cinéma le documentaire Tout s’accélère (www.toutsaccelere.com), plébiscité par le public et la critique, dans lequel il s’interroge avec ses élèves sur la course contre le temps qui caractérise nos sociétés modernes sous pression technologique et financière. Du film est né un livre qui apporte des outils pratiques pour se réconcilier avec le temps.
Gilles Vernet a ensuite réalisé le documentaire « À nous l’opéra ! » diffusé à la télévision en 2019 et dans lequel ses élèves montent et représentent un opéra ballet qu’ils ont écrits en vers en collaboration avec l’Opéra de Paris.
Il a publié en 2021 le livre « Tout l’or du monde » qui met en abime le monde de la finance obsédé de rendements dont il a fait partie et le monde de l’éducation avec ses gratifications immatérielles inestimables.

 

« Souviens-toi que le Temps est un joueur avide, Qui gagne, sans tricher, à tout coup ! c’est la loi. » écrivait Baudelaire dans son poème L’horloge.
Est-il bien sage de faire du temps, ce grand sculpteur de toute chose, un ennemi ? Pouvons-nous encore faire la paix avec lui dans la frénésie communicationnelle ?
La grande victime de l’emballement matérialiste, numérique et financier du monde est connu : c’est le lien humain et avec lui l’amour, notre raison d’être…
Respirer c’est se réconcilier avec le temps.
À partir d’une réflexion philosophique sur l’accélération de nos sociétés postmodernes et la manière dont elle nous met en contradiction avec nos aspirations profondes, Gilles Vernet nous invitera à pacifier notre rapport au temps, à respirer et à alterner les rythmes afin de préserver de la disponibilité pour le plus important : soi-même et autrui, que ce soit dans la vie professionnelle, amicale ou familiale.
Le temps est un allié indispensable pour prendre soin de soi et des autres. Et mieux le gérer peut devenir un véritable atout face à l’emballement du monde.

Ancien trader dans les grandes banques internationales, Gilles Vernet a tout quitté en 2001 pour s’occuper de sa mère atteinte d’une maladie incurable.
Devenu instituteur il a écrit un livre « Maman mourra un jour » dans lequel il témoigne du chemin initiatique qu’a été pour lui l’accompagnement de sa mère dans sa fin de vie. Cette expérience l’a amené à mettre en abime notre rapport au temps. Il a réalisé au cinéma le documentaire Tout s’accélère (www.toutsaccelere.com), plébiscité par le public et la critique, dans lequel il s’interroge avec ses élèves sur la course contre le temps qui
caractérise nos sociétés modernes sous pression technologique et financière.
Du film est né un livre qui apporte des outils pratiques pour se réconcilier avec le temps.
Gilles Vernet a ensuite réalisé le documentaire « À nous l’opéra ! » diffusé à la télévision en 2019 et dans lequel ses élèves montent et représentent un opéra ballet qu’ils ont écrits en vers en collaboration avec l’Opéra de Paris.
Il a publié en 2021 le livre « Tout l’or du monde » qui met en abime le monde de la finance obsédé de rendements dont il a fait partie et le monde de l’éducation avec ses gratifications immatérielles inestimables.

 

« Des histoires de fantômes, de famille, d’amour, bien sûr. On pleure tellement en regardant les Rivières ! » France Inter

« Une enquête intime sur la mémoire familiale. À voir absolument. » Brut

« Un très, très beau film. Les Rivières ont contourné l’obstacle. On vous recommande chaleureusement. » Kiffe ta Race »

 « Une archéologie familiale fascinante ». Mona Chollet

Mai Hua, artiste et réalisatrice française d’origine vietnamienne, est une mère divorcée de 2 enfants. En 2013, avec sa mère, elle ramène sa grand-mère mourante en France. Alors que cette dernière renaît de manière miraculeuse, un passé non résolu refait surface : Mai devient l’héritière d’une mémoire familiale complexe et douloureuse qu’elle ne veut pas transmettre à sa fille. A travers cette lignée de femmes et sa quête de vérité, la réalisatrice plonge dans une archéologie familiale à la fois intime et universelle.

Ce premier film de Mai Hua a été produit en toute indépendance et il est porté par un bouche-à-oreille qui franchit les frontières, au point d’être devenu un phénomène. 

Parce qu’il s’agit d’un film d’amour, regarder les Rivières avec d’autres personnes, augmente l’expérience. Que cela se passe physiquement ou digitalement, la parole, l’écoute, la connexion humaine qu’il suscite sont aussi importantes que le film lui-même.

 

Nous avons beaucoup de chance car Mai Hua sera présente à Bruxelles pour le regarder et échanger avec nous suite à la projection.

 

 

« Des histoires de fantômes, de famille, d’amour, bien sûr. On pleure tellement en regardant les Rivières ! » France Inter

« Une enquête intime sur la mémoire familiale. À voir absolument. » Brut

« Un très, très beau film. Les Rivières ont contourné l’obstacle. On vous recommande chaleureusement. » Kiffe ta Race »

 « Une archéologie familiale fascinante ». Mona Chollet

Mai Hua, artiste et réalisatrice française d’origine vietnamienne, est une mère divorcée de 2 enfants. En 2013, avec sa mère, elle ramène sa grand-mère mourante en France. Alors que cette dernière renaît de manière miraculeuse, un passé non résolu refait surface : Mai devient l’héritière d’une mémoire familiale complexe et douloureuse qu’elle ne veut pas transmettre à sa fille. A travers cette lignée de femmes et sa quête de vérité, la réalisatrice plonge dans une archéologie familiale à la fois intime et universelle.

Ce premier film de Mai Hua a été produit en toute indépendance et il est porté par un bouche-à-oreille qui franchit les frontières, au point d’être devenu un phénomène. 

Parce qu’il s’agit d’un film d’amour, regarder les Rivières avec d’autres personnes, augmente l’expérience. Que cela se passe physiquement ou digitalement, la parole, l’écoute, la connexion humaine qu’il suscite sont aussi importantes que le film lui-même.

 

Pour les personnes qui ne peuvent être présentes à Bruxelles, bonne nouvelle : vous recevez un code pour visionner le film avant, de votre côté. Et vous nous rejoignez sur Zoom pour suivre les échanges avec Mai Hua suite à la projection. 

 

“Puissant et poétique. Make Me a Man, avec sa narration à la fois intime et universelle, apporte une pierre précieuse à la réflexion sur les nouvelles masculinités.” Le Monde

Dans ce film, vous êtes invité·e à rejoindre un cercle d’hommes.
Après 3 années de réalisation, sous le nom de code "Meetings with Remarkable Men", la nouvelle version "Make Me A Man" pénètre au cœur du processus thérapeutique d’hommes, qui ont choisi de vivre une vie de réflexion, d’évolution et de soutien.

Découvrez des échanges profondément intimes, et rejoignez Jerry et quelques-uns des membres de ses groupes sur un pèlerinage puissant dans la Somme, sur les sites de commémoration de la 1ère Guerre Mondiale. 

Drôle, tragique, poignant et surtout viscéralement honnête, chaque participant s’ouvre d’une manière brute, précieuse. Jamais vue. 

A travers ces hommes, choisis dans les cercles de Jerry, parfois anciens de plus de 25 ans, le film explore des thèmes universels comme le sexe, la violence, les relations et ce qu’être un humain au 21ème siècle veut dire. 

Une fois inscrit·e, vous recevrez un code pour suivre le film sur Vimeo en meme

temps que nous le regardons à Bruxelles.

Après la projection, vous nous rejoignez via Zoom.

Nous aurons la grande joie d'échanger avec Mai Hua, co-réalisatrice du film.

Mai Hua est une philosophe visuelle et réalisatrice franco-vietnamienne basée à Paris. Depuis 8 ans, à travers son blog et ses réseaux sociaux, elle partage ses recherches sur la beauté, la culture féminine et la spiritualité pour diffuser des émotions transformatrices source de changements tout à la fois culturels et intimes. Son premier documentaire, "Les Rivières" a bouleversé des milliers de personnes.

 

 À l’occasion de la parution d’un nouveau livre, Thierry Janssen nous invite à mener une réflexion sur la place des rites et des rituels dans nos vies quotidiennes.
Qu’est-ce qui caractérise les rites et les rituels ? À quoi servent-ils? Pouvons-nous vivre sans eux ?
Doivent-ils forcément être reliés à une tradition, à une démarche sacrée ou à une pratique religieuse ?
Notre existence n’est-elle pas remplie de rites que nous adoptons sans nous en rendre compte ?
Comment inventer de nouveaux rituels, à la fois adaptés à nos besoins personnels et aux enjeux du monde dans lequel nous vivons ?
En tentant de répondre à ces questions, il nous parlera de l’importance de la conscience et du corps, de l’inspiration et de l’intention, de la cohérence et du sens. Une occasion de revenir à l’essentiel et trouver le moyen de vivre en paix avec nous-même et les autres.
 

 À l’occasion de la parution d’un nouveau livre, Thierry Janssen nous invite à mener une réflexion sur la place des rites et des rituels dans nos vies quotidiennes.
Qu’est-ce qui caractérise les rites et les rituels ? À quoi servent-ils? Pouvons-nous vivre sans eux ?
Doivent-ils forcément être reliés à une tradition, à une démarche sacrée ou à une pratique religieuse ?
Notre existence n’est-elle pas remplie de rites que nous adoptons sans nous en rendre compte ?
Comment inventer de nouveaux rituels, à la fois adaptés à nos besoins personnels et aux enjeux du monde dans lequel nous vivons ?
En tentant de répondre à ces questions, il nous parlera de l’importance de la conscience et du corps, de l’inspiration et de l’intention, de la cohérence et du sens. Une occasion de revenir à l’essentiel et trouver le moyen de vivre en paix avec nous-même et les autres.